Projet de vie et business : avec Ekosea.com il met la mer sur le web.

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Pour vivre sa passion et aider les amoureux de la mer… il crée sa propre start-up !

Quand projet de vie et business s’associent pour devenir une success story.

Projet de vie et business : voici la retranscription écrite de l’interview.

Quand projet de vie et business se conjuguent ! 

Bonjour, ici Dominique Lopin, auteur du blog jechangemylife.com.

Bienvenue dans cette nouvelle vidéo de la série « les mentors » où aujourd’hui j’ai la chance et le privilège de recevoir Maël Prud’homme.

Le fondateur de la plateforme Ekosea.com va nous parler de son nouveau projet de vie professionnel.

DL : Bonjour Maël.

MP : Bonjour, Dominique.

DL : Merci d’avoir accepté cette invitation pour Jechangemylife.com.

Tout d’abord, comme je ne te connais pas, et que nos auditeurs ne te connaissent pas non plus, est-ce qu’on peut parler un peu de toi ? Et de ton projet de vie bien entendu !

De ton parcours avant que tu décides de te remettre en question pour mettre en oeuvre ton projet de vie et créer Ekosea.com ?

MP : Je suis Maël Prud’homme, j’ai 41 ans, et je suis père d’une petite fille de 5 ans.

J’ai terminé mes études en allant faire un stage à Montréal en tant qu’assistant relation de presse au Musée d’art contemporain de Montréal.

DL : C’est sympa, ça !

MP : oui, ce qui était plutôt pas mal. En plus ce n’était pas un milieu que je connaissais forcément.

On me proposait deux stages, en fait, à l’époque :

1- soit partir dans le surf que je connaissais déjà – puisque je surfe depuis que j’ai 14 ans, et je connaissais un petit peu  –

2 – soit partir sur un milieu que je ne connaissais pas, et me mettre en situation dans un pays aussi que je ne connaissais pas bien…

…Donc sortir un peu de ma zone de confort, ce que j’ai décidé de faire pour terminer mes études.

Suite à ça, je suis revenu en France puisque je devais faire mon service militaire, qui existait encore.

Et j’ai fait un service civil où j’ai travaillé pour une association de protection de l’environnement puisqu’il y a eu le naufrage de l’Erika en 2000, et je suis breton, et c’est quelque chose qui m’a affecté.

Plutôt que de faire un service classique, j’en ai profité pour plutôt partir sur ce projet-là.  Et à partir de là, de travailler sur le montage d’une clinique mobile d’intervention sur les marées noires, sur toute l’Europe.

DL : Je crois savoir que tu es allé travailler au soleil, aussi…

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MP : Oui, effectivement, je suis parti faire mon service, c’était à Brest. Et même si Brest est une ville que j’aime bien…

DL : oui, Il n’y a pas trop de soleil…

MP : très franchement il y a un peu moins de soleil…

et j’ai eu l’opportunité de partir vivre à Tahiti.

DL : Tu as eu de la chance ! C’est aussi un beau projet de vie. Changeons de vie, les amis !

MP : Oui, quand je suis parti, on m’a dit que j’avais eu beaucoup de chance. Moi je pense que ce n’est pas juste une histoire de chance : c’est aussi une histoire de choix.

C’est aussi se confronter à ses propres rêves, et c’est aussi partir, être loin de sa famille, être loin de ses amis pendant un temps donné…

…Et c’est se confronter à des réalités qu’on ne soupçonne parfois pas quand on reste dans un pré carré assez confortable.

DL : Pour quelle raison cela ne te convenait plus, à un moment donné ? Qu’est-ce qui te manquait vraiment pour t’épanouir dans ce job ?

MP : c’était super intéressant, mais je bossais pour quelqu’un, avec des contraintes, et Tahiti c’est aussi limité en termes de surface, c’est une île.

Et c’est aussi un fonctionnement qui est particulier.

Au bout de 4 ans j’ai eu l’impression d’avoir fait le tour de ce que j’avais à apporter.

Alors tout mis bout à bout, cela a fait qu’à un moment je me suis dit :

« Est-ce que c’est là que j’ai envie de continuer à vivre ? »

Pas forcément : continuer à revenir pour profiter d’un cadre de vie assez exceptionnel avec des gens assez exceptionnels, oui, mais pas forcément pour y vivre tout le temps.

DL : Ekosea, c’est un peu comme la Bretagne et Tahiti, on est toujours auprès de la mer, donc…

MP : Et même Montréal, c’est une île !

DL : oui, et comment as-tu eu l’idée de te lancer dans la création de ta propre entreprise ?

On l’a vu, tu voulais vraiment travailler pour toi, mais ce projet Ekosea.com, c’est quelque chose que tu mûrissais depuis longtemps ?

Comment c’est arrivé ?

MP : De façon un peu étonnante, c’est plus quand je l’ai créé que je me suis dit :

« c’est l’accomplissement de ce que je souhaite faire depuis toujours ».

Quand je suis rentré de Tahiti j’ai travaillé, d’abord ça a été plutôt market’ et com’ pendant 5 ans.

Puis j’ai fait 5 ans de développement commercial, ensuite j’ai travaillé dans un cabinet de courtage en prêts immobiliers…

…Ce qui m’a amené à la finance ! 

Et la finance m’a amené à m’intéresser au financement participatif et au montage de la plateforme Ekosea.com qui est dédiée à l’océan et à l’environnement.

DL Donc Ekosea, pour que nos auditeurs comprennent bien,

EKOSEA c’est une plateforme de financement participatif  dédié aux projets de la mer.

MP : À tous les projets de la mer.  Que ce soit du sport, de la rénovation de bateaux, mais de l’alimentaire également, avec de la transformation d’algues…

DL :  Et tes clients, qui sont-ils ?

MP : Il y a deux types de clients.

1 – Il va y avoir des particuliers, des associations ou des entreprises qui ont un projet et qui ont besoin de fonds ;

2 – et puis il y a les souscripteurs, qui vont venir sur la plateforme, qui vont s’inscrire et qui vont donner de l’argent.

Nous, on est l’interface entre le porteur de projet et les souscripteurs.

DL : oui… la société est installée à Lorient, dans la base sous-marine, non ?

MP : oui, c’est ça.

DL : donc au bord de la mer…

MP On sort des bureaux, on fait 30 mètres, et on voit la mer…

DL : Quelle chance !

MP (rire) Mais c’est un choix ! On aurait pu être à Paris !

On a décidé de rester proche de la mer parce qu’on trouvait que c’était assez cohérent.

Alors, qu’est-ce qu’on fait, de façon pratique ?

On va accompagner les porteurs de projet. 

C’est-à-dire que toute personne qui a projet qui correspond aux valeurs de Ekosea.com peut déposer son projet.

Nous, on va lire le projet, revenir vers le porteur de projet, lui dire :

« Tiens, moi, je le verrais plutôt comme ça, qu’est-ce que tu veux dire par là ?… »,

…C’est un petit peu ce que tu es en train de faire avec moi, en essayant de sortir le meilleur de la personne.

Donc on les accompagne là-dessus, on peut aussi les accompagner sur leur approche liée à la presse, aux réseaux sociaux, à la création de vidéos, ce genre de choses…

Parce que, finalement, le financement participatif, c’est un projet qui est mis en ligne.

Donc le porteur de projet doit vendre ou parler de son histoire de la meilleure des façons.

On est là pour l’accompagner là-dessus et faire se concrétiser son projet de vie.

DL – Ce qui me plaît bien, c’est que toi, tu as réalisé ton rêve en créant Ekosea.com…

… Et qu’en même temps tu aides les autres à réaliser leur rêve en les aidant à se financer, à lancer leur projet.

C’est ça qui est bien, cette chaîne de réalisation des rêves, des autres projets…

MP : oui, en tout cas nous, c’est ça qui nous intéressait. En fait, on gagne si les autres gagnent.

Et puis il y a aussi le fait que quasiment tout le temps c’est des super aventures et des super porteurs de projets…

Ce sont des aventures humaines, c’est des aventures de passionnés.

DL – Pour devenir entrepreneur, nos auditeurs le savent, il faut une énergie, et surtout un moral d’acier (c’est pas facile, je crois qu’on est d’accord là-dessus).

Toi, comment est-ce que tu fais, au quotidien, pour te motiver, garder la foi ?

C’est quoi, ton secret, si tu veux bien le partager ?

MP : C’est une aventure, et puis il n’y a pas de drame : c’est-à-dire qu’au pire, ça ne marchera pas !

Et au mieux, ça va être génial ! Voilà.

Et si on ne le fait pas, on ne le saura pas.

J’ai aussi eu l’occasion de lire quelques bouquins dont l’histoire de Steve Jobs, et c’était très très compliqué pour lui, il dormait chez des copains à lui, c’était vraiment des périodes pas faciles.

Je pense que la plupart des gens n’auraient pas misé non plus au début sur Airbnb.

J’ai aussi regardé ce qui s’est fait : et c’est tous des gens qui ont eu des périodes pas si évidentes que ça. C’est pas venu tout seul.

Par contre, le fait d’être convaincu par ce qu’on fait, de penser que ce qu’on fait est juste, a du sens, ça me permet de continuer.

Ça me booste pas mal. Comme je le disais tout à l’heure, quand les autres gagnent, on gagne, et c’est la réussite des autres qui nous permet d’avancer.

Aujourd’hui on a un taux de réussite qui est assez élevé pour le financement participatif puisque c’est 90 % pour nous.

La moyenne nationale est autour de 60-61 %. Donc on a plutôt des belles réussites, et ça, ça booste vraiment…

DL – Et maintenant, c’est quoi, la prochaine étape, pour la plateforme Ekosea.com ?

J’entends parler d’une levée de fonds, de développement à l’international ?

MP : oui, c’est ça. Aujourd’hui, on a reçu à peu près 120 projets en France, on en a reçu quelques-uns venant de l’étranger…

…Et on sait que la mer est partout, donc le but du jeu est d’être partout !

Donc on est en train de regarder pour une levée de fonds, effectivement, qui nous permettra d’avoir du personnel complémentaire.

On a déjà les profils ; on sait déjà avec qui on a envie de travailler et ça va nous permettre de nous développer et le but du jeu c’est de partir vers l’international…

DL – si les auditeurs ont un projet de vie ou de business en rapport avec la mer, qu’ils prennent contact avec toi, on mettra sur la vidéo le lien pour vous contacter.

L’objectif de cette interview, comme tu le sais, c’est d’inspirer les auditeurs de Jechangemylife.com.

Alors imaginons que l’une des personnes qui nous écoutent souhaite comme toi devenir son propre patron et changer de vie : en fait, quels conseils lui donnerais-tu ?

MP : Moi j’aime bien une phrase, je crois que c’est Kennedy qui la disait, c’est :

« La réussite, c’est de savoir s’entourer des meilleurs »,

Donc c’est prendre des bons, et ne pas avoir peur de prendre des meilleurs que soi, a priori. Parce que ça nous fait monter en compétence .

Ça peut faire peur, mais je pense que d’avoir des très bons et de se faire challenger, mais de façon bienveillante, permet d’aller plus haut.

Et puis après, il faut prendre son bâton de pèlerin.

Et si on est convaincu, on en devient convainquant, en général, et puis il ne faut pas hésiter à aller se confronter, à dire :

« Voilà, j’ai tel projet, qu’est-ce que tu en penses ? »

Mais se faire confiance, ça c’est un bon plan.

DL – Bon, en tout cas, je sais que ça démarre fort. 

Merci beaucoup, Maël, pour cette interview. Et pour avoir eu la gentillesse de partager ton expérience avec les auditeurs de Jechangemylife.com.

Je suis sûr que ton témoignage va inspirer beaucoup de monde.

Et, si vous avez aimé cet article, laissez moi un petit commentaire en bas de cette page. Merci beaucoup et à très bientôt…

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